
La communication au service de la santé
Contrairement aux siècles passés, et malgré la situation exceptionnelle de la COVID-19, les maladies infectieuses ne représentent plus la principale menace pour la santé. Ce
Contrairement aux siècles passés, et malgré la situation exceptionnelle de la COVID-19, les maladies infectieuses ne représentent plus la principale menace pour la santé. Ce
Faire à sa tête est une plateforme de partage des savoirs ayant pour objectif d’informer le grand public sur la pollution et la santé du cerveau. En collaboration
Qui a dit que l’humour et la science ne font pas bon ménage? Pour déboulonner ce mythe on s’est aventurés à faire une entrevue avec Olivier Bernard, alias le Pharmachien.
Il est bien établi que l’activité physique est bénéfique pour la santé. Elle réduit entre autres le risque de maladies cardiovasculaires et de diabète, et aide à maintenir un poids santé.
Le déploiement de la technologie 5G au Québec suscite l’inquiétude chez plusieurs individus qui proclament qu’elle est nuisible pour la santé. Pourtant, la communauté scientifique internationale affirme que la dangerosité est invraisemblable, il y aurait donc plus de peur que de mal.
Certains souvenirs vont laisser des traces durables, parfois indélébiles dans notre mémoire. Ces souvenirs peuvent affecter notre personnalité, notre motivation, notre bien-être psychologique et même nos comportements.
Les nano-vaccins protéiques, qui résultent de l’autoassemblage de protéines en structures imitant les pathogènes naturels, permettent d’éviter la propagation de virus et de protéger jusqu’à 100% de la population vaccinée, tout en évitant les inconvénients associés aux vaccins classiques.
Il s’intéresse aux « mythes scientifiques et médicaux » entre autres à l’aide de la bande dessinée (B.D.). Il a publié plusieurs livres, dont Le Pharmachien : différencier le vrai du n’importe quoi en santé !. Dans ce court article, nous vous présentons dans nos mots ce que nous avons retiré de notre entretien.
Il est estimé qu’en 2002, au Canada, 12% des enfants de moins de 12 ans vivaient avec un parent souffrant de dépression, d’anxiété, d’un trouble bipolaire, ou d’une dépendance à une substance1.
Au Québec en 2016, on dénombrait 14 429 élèves autistes inscrits à la formation générale, soit 1 enfant sur 701. Il s’agit de la catégorie d’élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage la plus représentée au Québec.